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Wednesday, April 13, 2011
J'ai pas l'habitude d'aborder le sujet de la politique ... mais la ! En écoutant le débat il y avait tellement de bulles qui me passait par la tête que s'en était indécent.
Le chef d'un parti est supposé passer le message du parti en lui-même mais n'est pas le parti en sois. Si je comprends bien... c'est l'emballage, le représentant... l'image.
Je ne veux pas du tout que Harper représente mon pays! C'est quoi ça ! Trop maquillé, avec le complet trop petit et il a le ton de voix d'un gars qui sort d'une dépression! Je le regardais et je voyais un petit vendeur débutant à sa première journée avec un complet du village des valeurs !
Heil ! Les conservateurs ! Le plus important dans le parfum C'EST LA BOUTEILLE ! Tout le monde sait ça !
Mais c'était pas ma première bulle ! La première était au sujet des armes de chasse des pauvres petits villageois des régions qui pratiquent la chasse ou ont une ferme et qui n'aiment pas ça EUX, être obligés d'aller enregistrer TOUTES leurs armes!
C'est sur ! Depuis quand ils font pousser le pot en ville ! C'est quand la dernière fois qu'on a trouvé un beau grand champs de pot en plein milieu de l'île de Montréal ???
Moi ce qui me trouble le plus dans les débats c'est le coq à l'âne. Waw les mecs ! Vous êtes passés de:
La conservation de nos valeurs PAR RAPPORT AUX AMÉRICAINS;
À la langue Française;
À la loi 101 (ou 102 ;)
Aux normes du travail;
Au chômage préventif des femmes enceintes travaillant pour le gouvernement fédéral;
Et étant donné que le but de ce discours était de répondre à une question, l'animatrice doit leur redemander de RÉPONDRE à la question.
Etk ! Je suis très rassurée que les représentants du gouvernement vont écouter ce que je leur demande !
AUSSI ! Quelqu'un va surement être capable de me répondre sur internet !
Depuis quand la TPS a t elle été diminuée pour contrer directement le prix de l'essence!!!! J'ai regardé vite vite sur google et je ne vois rien la dessus... EST-CE QUE J'EN AI MANQUÉ UN BOUT ???
Une autre pas pire :
Harper a réglé le déséquilibre fiscal du Québec...
Personne ne m'a dit que les finances du Canada allait mieux ou j'ai manqué un autre bout !
Mais c'était juste quelques bulles comme ça
Le mot de la fin, je le laisse à Harper:
Ça a été un plaisir !
Super que tu ais aimé ça !
Ciao !
Tuesday, November 30, 2010
Le vilain Charest qui voulait voler nos cadeaux de noël !!! Sur un salaire moyen de 30 000$ c'est quand même 300$ par année 1% . Et je ne crois pas mentir si je dis que les ménages de 30 000$ par an ont un budget de cadeaux de Noël de 300$... ou moins.
Merci beaucoup M. Charest... Nos familles vont avoir une belle petite pensée pour vous en faisant l'épicerie après les fêtes !
Merci Ka pour le si beau dessin !
Merci beaucoup M. Charest... Nos familles vont avoir une belle petite pensée pour vous en faisant l'épicerie après les fêtes !
Merci Ka pour le si beau dessin !
Labels: Argent, Dessin de Ka, politique
Friday, November 26, 2010
Tuesday, November 16, 2010
Décrimination du cannabis à la chambre des communes, pétition déposée par le député Jean-Yves Laforest
0 comments Posted by eightq at 7:52 AMLe député Jean-Yves Laforest dépose une pétition à la Chambre des communes
L’intervention n’a pas fait grand bruit mais Jean-Yves Laforest a déposé le 27 octobre dernier la première pétition demandant au gouvernement de suivre les recommandations du Rapport du comité spécial du Sénat sur les drogues illicites dont l’une des conclusions est de décriminaliser l’usage du cannabis.
Dans le préambule de la pétition, il est écrit Dans une société libre et démocratique comme la nôtre, les citoyens devraient avoir le droit de prendre des décisions éclairées quant à leurs comportements, à condition qu'ils ne causent pas de préjudices significatifs aux autres. Nous croyons fermement que l'usage du cannabis entre dans cette catégorie de comportements. Comme cette drogue n'est pas plus nocive que le tabac ou l'alcool, qui sont tous deux légaux, pourquoi ne pas la traiter de la même façon?
Il s’agit en fait d’un extrait du Rapport du comité spécial du Sénat sur les drogues illicites publié en 2003 mais qui est demeuré lettre morte depuis. En entrevue à L’Hebdo, Gérard Godbout refuse d’évoquer la décriminalisation du cannabis, préférant plutôt parler de l’obligation pour le gouvernement de suivre les recommandations du rapport. Celles-ci sont nombreuses, techniques et complexes mais ultimement, suggèrent d’utiliser les fonds dédiés à la lutte contre la consommation de drogues douces et de les transférer pour des fins d’éducation et de santé.
Selon les règles en vigueur à la Chambre des communes, une pétition doit comporter un minimum de 25 signatures pour être valide. Celle du résident de Notre-Dame-de-Montauban en comportait 33. Toujours selon ce règlement, le gouvernement est obligé de fournir une réponse à chaque pétition dans les 45 jours civils suivant sa présentation. Après ce délai, un comité de la Chambre est dans l’obligation d’étudier l’absence de réponse.
Interrogé sur la réaction du député Laforest lorsqu’il lui a présenté son projet de pétition, Gérard Godbout souligne qu’il était «curieux et intéressé» mais qu’il demeurait toutefois «réservé» sur le sujet. «C’est une patate chaude politique», convient celui que L’Hebdo avait rencontré il y a trois ans alors qu’il construisait sa maison à Notre-Dame-de-Montauban, une résidence faite de… chanvre.
http://www.lhebdodustmaurice.com/Actualites/Justice/2010-11-16/article-1967890/Decriminaliser-l%26rsquo%3Busage-du-cannabis%3F/1
Monday, November 15, 2010
Le taux de décrochage scolaire... c'est peut-etre la faute des parents en fin de compte lol
0 comments Posted by eightq at 2:12 PM
Les parents n'apprécient pas du tout le fait que le premier ministre les blâme pour les taux élevés de décrochage scolaire. «Ça me surprend qu'il dise ça. [...] C'est gros de dire que les parents ne s'impliquent pas», a soutenu François Paquet, président de la Fédération des comités de parents du Québec. Il rétorquait ainsi aux propos du premier ministre Jean Charest qui avait montré du doigt la responsabilité des parents dans le décrochage scolaire.
Devant une assemblé de gens d'affaires à Québec, hier, M. Charest avait déclaré que c'était «trop facile de blâmer le système». «Chaque fois que la question du décrochage scolaire est soulevée, on vise les commissions scolaires, on vise les professeurs, on vise les politiciens. Mais on oublie les acteurs les plus importants: les parents», avait-il affirmé.
Selon le premier ministre, ce sont eux qui ont «le premier rôle à jouer quant au succès de leur enfant à l'école.» «Ils devraient tous les jours s'enquérir auprès de leurs enfants sur leurs études. Je pense que ça ne se fait pas assez. Je sais que ça ne se fait pas assez», a-t-il dit comme pour enfoncer le clou dans un point de presse. La semaine dernière, deux études coup sur coup ont fait état du bas taux de diplomation au Québec, soit 72 % chez les moins de 20 ans.
Marie-Michèle Lemaire, mère d'une famille reconstituée de six enfants, dont deux souffrent de déficit de l'attention, en a long à répliquer au premier ministre. «Le premier ministre a probablement des enfants parfaits, dans des collèges privés, mais dans la vraie vie, ça ne se passe pas toujours bien, a-t-elle indiqué. Je mettrais M. Charest au défi d'avoir deux ou trois enfants atteints d'un déficit d'attention avec ou sans médicament dans son bureau. Peut-être qu'il changerait sa vision.»
Celle qui est coordonnatrice de l'organisme PANDA (Personnes aptes à négocier avec le trouble du déficit de l'attention) insiste pour dire que les parents, surtout ceux dont les enfants éprouvent des difficultés d'apprentissage, en ont souvent plein les bras. «Il va falloir que M. Charest refasse ses devoirs et voie que les parents ont de la bonne volonté. Et qu'un enfant atteint d'un déficit d'attention, et que c'est neurologique, ce n'est la faute ni de l'enfant ni du parent.»
Place à l'amélioration
«Demander aux parents d'en faire plus, certes, mais encore faut-il se doter d'outils qui permettent aux parents de bien tenir leur rôle», rappelle M. Paquet, qui demande que les écoles soient un peu plus flexibles envers les parents. «C'est pas tout le monde qui peut prendre du temps sur les heures de bureau pour aller rencontrer les enseignants. Je connais plusieurs parents qui ont des enfants en difficulté et ils ne peuvent pas tous se libérer en plein jour pour ça.»
Geneviève Moquin, mère d'un enfant atteint du syndrome de Gilles de la Tourette, croit pour sa part que les parents seraient moins essoufflés et plus à même d'aider leurs enfants s'il y avait plus de services dans les écoles. «Mon enfant demande plus d'attention et il n'a pas de services à l'école. Pour en avoir, il faut presque aller à l'hôpital avec lui», a-t-elle raconté. Mme Moquin a sa petite idée sur les taux effarants de décrochage. «Il y a des enfants avec des TDAH [troubles de déficits de l'attention et d'hyperactivité], mais il n'y a pas de services. Comment veux-tu que les enfants et les parents ne se découragent pas?»
La tâche des parents est énorme, croit M. Paquet. «Personne n'est simplement un parent. Je suis informaticien, président de la Fédération, le premier ministre aussi c'est un parent. On a tous un bagage», a-t-il noté. M. Paquet croit que les parents ne doivent pas hésiter à communiquer avec les enseignants s'ils ont du mal à accompagner leurs enfants dans leurs tâches.
M. Paquet croit que le problème du décrochage scolaire en est un de société, dont la responsabilité est partagée. «Il faut arrêter de chialer contre le système. Plusieurs médias le font. Quand on rentre dans la tête des enfants et des parents que le système est pourri, ça n'aide pas le jeune, souligne-t-il. On a tous un rôle à jouer. Les parents, l'école, les profs, les politiciens, les médias. Tout le monde doit faire son examen de conscience.»
***
Avec La Presse canadienne
http://www.ledevoir.com/societe/education/310665/decrochage-charest-offusque-les-parents
Devant une assemblé de gens d'affaires à Québec, hier, M. Charest avait déclaré que c'était «trop facile de blâmer le système». «Chaque fois que la question du décrochage scolaire est soulevée, on vise les commissions scolaires, on vise les professeurs, on vise les politiciens. Mais on oublie les acteurs les plus importants: les parents», avait-il affirmé.
Selon le premier ministre, ce sont eux qui ont «le premier rôle à jouer quant au succès de leur enfant à l'école.» «Ils devraient tous les jours s'enquérir auprès de leurs enfants sur leurs études. Je pense que ça ne se fait pas assez. Je sais que ça ne se fait pas assez», a-t-il dit comme pour enfoncer le clou dans un point de presse. La semaine dernière, deux études coup sur coup ont fait état du bas taux de diplomation au Québec, soit 72 % chez les moins de 20 ans.
Marie-Michèle Lemaire, mère d'une famille reconstituée de six enfants, dont deux souffrent de déficit de l'attention, en a long à répliquer au premier ministre. «Le premier ministre a probablement des enfants parfaits, dans des collèges privés, mais dans la vraie vie, ça ne se passe pas toujours bien, a-t-elle indiqué. Je mettrais M. Charest au défi d'avoir deux ou trois enfants atteints d'un déficit d'attention avec ou sans médicament dans son bureau. Peut-être qu'il changerait sa vision.»
Celle qui est coordonnatrice de l'organisme PANDA (Personnes aptes à négocier avec le trouble du déficit de l'attention) insiste pour dire que les parents, surtout ceux dont les enfants éprouvent des difficultés d'apprentissage, en ont souvent plein les bras. «Il va falloir que M. Charest refasse ses devoirs et voie que les parents ont de la bonne volonté. Et qu'un enfant atteint d'un déficit d'attention, et que c'est neurologique, ce n'est la faute ni de l'enfant ni du parent.»
Place à l'amélioration
«Demander aux parents d'en faire plus, certes, mais encore faut-il se doter d'outils qui permettent aux parents de bien tenir leur rôle», rappelle M. Paquet, qui demande que les écoles soient un peu plus flexibles envers les parents. «C'est pas tout le monde qui peut prendre du temps sur les heures de bureau pour aller rencontrer les enseignants. Je connais plusieurs parents qui ont des enfants en difficulté et ils ne peuvent pas tous se libérer en plein jour pour ça.»
Geneviève Moquin, mère d'un enfant atteint du syndrome de Gilles de la Tourette, croit pour sa part que les parents seraient moins essoufflés et plus à même d'aider leurs enfants s'il y avait plus de services dans les écoles. «Mon enfant demande plus d'attention et il n'a pas de services à l'école. Pour en avoir, il faut presque aller à l'hôpital avec lui», a-t-elle raconté. Mme Moquin a sa petite idée sur les taux effarants de décrochage. «Il y a des enfants avec des TDAH [troubles de déficits de l'attention et d'hyperactivité], mais il n'y a pas de services. Comment veux-tu que les enfants et les parents ne se découragent pas?»
La tâche des parents est énorme, croit M. Paquet. «Personne n'est simplement un parent. Je suis informaticien, président de la Fédération, le premier ministre aussi c'est un parent. On a tous un bagage», a-t-il noté. M. Paquet croit que les parents ne doivent pas hésiter à communiquer avec les enseignants s'ils ont du mal à accompagner leurs enfants dans leurs tâches.
M. Paquet croit que le problème du décrochage scolaire en est un de société, dont la responsabilité est partagée. «Il faut arrêter de chialer contre le système. Plusieurs médias le font. Quand on rentre dans la tête des enfants et des parents que le système est pourri, ça n'aide pas le jeune, souligne-t-il. On a tous un rôle à jouer. Les parents, l'école, les profs, les politiciens, les médias. Tout le monde doit faire son examen de conscience.»
***
Avec La Presse canadienne
http://www.ledevoir.com/societe/education/310665/decrochage-charest-offusque-les-parents
Labels: Éducation, Fail, Information, politique
Saturday, November 13, 2010
L'accès à Facebook était bloqué samedi en Arabie saoudite par les autorités qui jugent que le célèbre réseau social sur Internet ne respecte pas les valeurs conservatrices du royaume wahhabite.
Lorsque les internautes saoudiens ont tenté d'accéder samedi au site, un message d'erreur s'est affiché automatiquement.L'instance de régulation des communications a décidé de bloquer Facebook car selon un responsable, qui a requis l'anonymat, son contenu avait "dépassé la limite" fixée par les valeurs du royaume wahhabite tout en précisant qu'il s'agissait d'une mesure temporaire.
source http://matin.branchez-vous.com/nouvelles/2010/11/larabie_saoudite_decide_de_blo.html
Labels: facebook, Information, Maintenant, politique
Tuesday, October 12, 2010

Au sujet des mesures particulières qu’il devra prendre en Malaisie afin de ne pas choquer les spectateurs majoritairement musulmans:
«Mon but est de divertir mon public, pas de le mettre mal à l’aise»
Le chanteur ouvertement homosexuel Adam Lambert a promis de respecter les règles strictes imposées par le gouvernement malaisien. L’interprète montera sur la plus grande scène de Kuala Lumpur jeudi. Tel que convenu, il ne pourra pas embrasser qui que soit lors de son spectacle. Il devra également s’abstenir de sauter, de bouger de manière suggestive et de porter des vêtements trop serrés. Autant dire qu’il va chanter en coton ouaté assis sur un tabouret! On se souviendra que l’interprète avait choqué l’Amérique puritaine l’an dernier en échangeant un sulfureux baiser avec l’un de ses musiciens lors d’une prestation dans le cadre des American Music Awards. Le segment avait été censuré à la télévision nationale.
Labels: nos idoles, politique, Potins
Friday, September 24, 2010
par MVP

Les travaux qui consistent à clarifier si Me Marc Bellmarre à bel et bien subit des pressions pour nommer contre son gré certains candidats au poste de juges durant l'exercice de son mandat, à vu défiler un grand nombre de témoins assez colorés dont principalement:
Messieurs Charles Rondeau et Marcel Leblanc, deux « Joe bon temps » aux souvenirs évasifs et sélectifs qui se baladaient au Cabinet du Premier ministre pour rencontrer au gré du vent Madame Chantal Landry (bras droit du Premier Ministre Charest et responsable des nominations) afin d'établir des listes de nominations et de fournir des CV et des candidatures de personnes qu'ils connaissaient personnellement aux allégeances Libéral à priori;
Norman McMalan. Ministre du gouvernement qui s'est permis de recommander auprès du ministre Bellemarre le fils d'un grand ami, organisateur de sa campagne électorale et enfin le grand manitou, Franco Fava qui semblait tirer les ficelles en rapportant comme collecteur de fond « bénévole » plus de 1.5 millions de dollars par année à la caisse du PLQ et dont l'entreprise en construction qu'il possédait avec ses deux frères depuis 30 ans aurait jusqu'à 2007 obtenu pour 780 millions de contrat du gouvernement dont 190 millions sans appel d'offre...
Difficile à croire que tout ce cirque n'est pas la réalité en fait des coulisses du pouvoir et qu'en fin de compte, que le système ne fonctionne pas comme dans les années 40, alors que Maurice Duplessi régnait en roi et maître sur la province en donnant des frigidaires aux gens qui lui octroyaient leur vote.
En regardant le témoignage de Monsieur Fava hier, j'avais l'impression de regarder ce bon vieux film de Francis Ford Copola « Le Parrain » ou de me replonger dans cette bonne série de Luc Dionne « Omerta » ou dans celle de Réjean Tremblay, « Lobby ».
D'ailleurs, j'ai remarqué quelques similitudes avec quelques principes de bases cités par Michael Corleone dans le Parrain. Je vous laissent vous faire votre propre opinion.
1.
10h11: Me Bertrand: «Vous vous êtes souvent targué d'être un homme influent?» «C'est vous qui le dites», répond F. Fava.
*Ne laisse jamais personne savoir ce que tu penses (Le Parrain 3e partie)
2.
10h13: «Vous avez beaucoup de contacts avec des politiciens?», lui demande Me Bertrand. F. Fava répond: «Ce sont des gens qu'on rencontre et qui viennent à nos activités, aux cocktails du parti. Oui...»
10h14: Me Bertrand cite une entrevue qu'a donnée Franco Fava à des journalistes: «Vous avez dit que vous aviez des amis au plus haut niveau politique?», lui demande-t-il. M. Fava lui demande de définir ce qu'il entend par «ami». «Quelqu'un qui me rend service est une connaissance.... J'ai des connaissances à ce niveau», précise F. Fava.
11h24: Me Bertrand lui demande si l'article dresse un bon portrait de lui et s'il se souvient avoir dit: «Tu vas voir la politique, il faut des appuis». M. Fava s'en souvient. Il ne se souvient cependant pas avoir dit: «Je suis un argentier du Parti libéral...», tel que rapporté par l'article.
3.
10h48: «Si vous êtes un bénévole, je vous demande seulement si votre compagnie a bel et bien reçu des contrats de 780 millions de dollars, dont une partie sans appel d'offres?», redemande M. Bertrand à F. Fava. Le commissaire Bastarache lui demande de reformuler sa question. M. Fava répond la même chose qu'à la question précédente, à savoir qu'il n'a tiré aucun avantage de sa position.
*L'homme le plus riche est celui qui a les amis les plus puissants (Le Parrain 3e partie)
3.
10h48: «Si vous êtes un bénévole, je vous demande seulement si votre compagnie a bel et bien reçu des contrats de 780 millions de dollars, dont une partie sans appel d'offres?», redemande M. Bertrand à F. Fava. Le commissaire Bastarache lui demande de reformuler sa question. M. Fava répond la même chose qu'à la question précédente, à savoir qu'il n'a tiré aucun avantage de sa position.
*La finance est une arme, la politique, c'est savoir quand il faut tirer. (Le Parrain 3e partie)
De plus, il y a le manque d'impartialité flagrante de l'avocate du gouvernement, Me Suzanne Côté qui semble bien s'amuser en salle d'audience lorsque que les avocats de la Commissions et ceux représentant Monsieur Charest exercent leurs contre interrogatoire en riant de bon cœur et toujours le sourire en coin.
Finalement en constatent la complaisance notable du commissaire Bastarache auprès de ceux-ci et des témoins prenant parti pour le PLQ tout en défiant constamment l'avocat de maître Bellemarre Me Jean-François Bertand, il ne fait aucun doute apparent que cette commission n'a aucune crédibilité à mon sens. Quel gaspillage de temps et surtout d'argent et tout cela pour détourner l'attention sur le vrai sujet qui devrait être sous enquête public depuis des mois, c'est-à-dire, le milieu de la construction et du financement des parties politiques. Dans toute cette histoire, on ne peu que conclure malheureusement que chacun ne cherche qu'a protéger leurs intérêts communs.
On vois bien qu'il y a un cynisme établi à l'égard des politiciens au sein de la population et que ce n'est pas près de se résorber.
24 septembre 2010
Labels: Commission Bastarache, Information, justice, Maintenant, nouvelles, politique
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